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Extraits de presse  (articles entiers plus bas)

JAZZ MAGAZINE   (Novembre 2022)
Focus sur Manu Le Prince et 'Children of the Night' Manu Le Prince ..."on est toujours épaté par le cœur que Manu Le Prince met dans ce qu'elle chante, et sa voix chaude qui aime descendre dans le grave est un joyau scintillant dans une écrin sur mesure. Une réussite totale qui sonne vrai pour un projet qui n'aurait pas supporté l'à-peu-près. " 
Philippe Vincent

LE MONDE   (Septembre 2022)
"Voix chaude, expressive, Manu Le Prince va au-delà de la traduction vocale du jeu de Shorter, en écrivant des textes qui évoluent sur les courbes mélodiques...le saxophoniste Irving Acao est dans l’évocation des sinuosités, les fluidités de Shorter, et quelques invités, tous de haute tenue, dans un plein accord avec la chanteuse."
Sylvain Siclier

TELERAMA   (Septembre 2022)
"Rendre hommage à Wayne Shorter est une chose à laquelle peu de saxophonistes peuvent prétendre. Alors une chanteuse ...mais voilà. Le maître en personne a poussé Manu Le Prince et, - faut-il le préciser ? - il a eu raison. En substituant des mots aux notes du saxophoniste, Le Prince a réalisé un disque (Children of the Night) lumineux et courageux qu'elle peut présenter avec fierté.
Louis-Julien Nicolaou 

MOVE  (Octobre 2022)
"Dès le majestueux “Eleonora (Lady Day) introductif, on mesure avec quelle ferveur et quelle exigence Manu et ses hommes se sont investis dans ce projet"... "Madame Le Prince surplombe magistralement ces adaptations de son timbre subtilement voilé"... "Adoubé par Shorter et Hermeto Pascoal in person, voici donc un sérieux candidat aux “Chocs du Jazz” de ce millésime ! "
Patrick Dallongeville  - Paris-Move, Blues Magazine, Illico & BluesBoarder


PARIS MOVE (Octobre 2022)
"En mettant en paroles les grands standards du répertoire du saxophoniste, qui l’a encouragée sur ce projet d’album, la Diva, ambassadrice reconnue du latin jazz en France et dans le monde, rend un vibrant hommage au musicien natif de Newark (1933!)..."  Délicatement chahuté entre le nord et le sud, on se laisse totalement envouter par la voix de Manu Le Prince et les accompagnements de ses musiciens. Une superbe invitation aux voyages (au pluriel)."
Dominique Boulay

DAILY PASSION  (octobre 2022)
 Pour ce qui est du talent de Manu Le Prince, je pense qu’il est incontestable. Là la voix s’accorde, pour moi, avec intelligence aux notes. Normal me direz-vous, pas si sûr ! La chaleur du timbre colle aux sons des instruments rehaussée par des touches espiègles…
Noê Gaillard

 LATINS DE JAZZ  (octobre 2022)
"D’emblée, la voix chaude et sensuelle de la chanteuse installe un climat chargé d’émotion sur Eleanora ... " la voix brille de tous ses éclats sur Children of The Night écrit par Wayne Shorter..."Manu Le Prince parvient à restituer le climat sonore unique de Milton Nascimento à travers sa composition Vera Cruz.... "Avec délicatesse et souplesse, Manu s’approprie les morceaux qu’elle projette dans ses propres territoires, entre musique brésilienne et jazz."
Nicole Videmann​​​


Le blog du blagueur  (Octobre 2022)
" On le sent, on le perçoit aussitôt : sa langue vernaculaire de chant, c’est bien celle du Brésil, pays qu’elle a adopté pour ses musiques, pays continent dont elle a arpenté les scènes, terre natale du père musicien de ses enfants. Alors dans sa bouche, dans la vibration douce de ses cordes vocales Tarde aussi bien que Vera Cruz ou encore Caminho Solar– version chantée du mythique Footprints des années d’or de Blue Note- sonnent aux accents parfaits cariocas..."
Avec cet album Children of The night, ouvrage solaire réalise en hommage à la constellation Wayne Shorter, Manu Le Prince signe un bel et beau retour à de riches échos de jazz."
Robert Latxague 

ORPHEO GIANT   (septembre 2022)
"Este gran disco de Manu Le Prince, con una excelente y amplia banda de acompañamiento, a la que se suman unos cuantos y apreciables “Featurings”, es lo que dice su subtítulo . De hecho, es un gran y panorámico tributo a la obra de Shorter.... La guinda una excelente versión del ‘Tarde’ de Milton Nascimento’. Todos esos temas cobran una nueva y desconocida dimensión con la gran y sensual voz de Le Prince que hace que algunos temas parezcan otros. ¡Ya estás tardando, sí, en hacerte con este gran disco que combina jazz y buenos aires brasileños!"
Txema Mañeru

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UKVIBE.ORG Décembre 2018 - "In a Latin Mood" "Le répertoire n'est rien de moins qu'éclectique. Manu pose ses propres textes sur des mélodies créées par Privat, Kenny Baron et d'autres. De surcroît, cette musique est facile à écouter et donc facile à savourer. Chaque morceau est une oeuvre d'art et plusieurs d'entres eux ont la capacité de rester dans nos têtes ... C'est comme si la vocaliste était une Calypso contemporaine qui nous séduirait avec son chant. Et qui ne voudrait pas être captif des ses îles si musicales ? Alan Musson

LE MONDE.fr -  In a Latin Mood "Un vent du Brésil, une conquête de l’Ouest, une passionaria du jazz français... un nom magique, une voix qui surfe sur les tempos brésiliens... le partage de l’émotion et l’ouvrage du temps du jazz ..." (septembre 2018) Hellen Page

LA TERRASSE - In a Latin Mood "Grande dame du Latin Jazz,  
Manu Le Prince est l’une des vocalistes les plus attachantes de la scène française... les couleurs ambrées et chaudes de sa voix t merveille..." Jean Luc Caradec

JAZZ HOT -  In a Latin Mood "Album délicat qui reflète bien sa personnalité musicale jazzy et colorée... "Jerôme Partage

L'ACADEMIE DU JAZZ -  In a Latin Mood "Elle vous embarque dans une déambulation où le magique se dispute à la séduction, le réalisme à l'onirique ..." Francis Capeau

LATINS DE JAZZ  In a Latin Mood  le timbre chaud et sensuel de Manu Le Prince se prête tout à fait à l’interprétation de ces musiques qui mêlent jazz et musiques latines..." Nicole Widemann

LE QUOTIDIEN DU MEDECIN "Manu réalise avec brio et réussite vocale plusieurs mariages...   Un bel album personnel, audacieux et surprenant pour ses fans, aux confluents de plusieurs genres... " Didier Pennequin

JAZZMAN - BossaJazz for Ever ****  
La voix chaude de Manu Le Prince qui aime descendre dans le grave,tout cette fois nous emmène à Rio..." Philippe Vincent

LE NOUVEL OBSERVATEUR " La plus brésilienne de nos parisiennes n'a pas son pareil pour vous ensorceler..." Jean-Michel Proust

TELERAMA - " Manu Le Prince, un trésor de la musique brésilienne conçue en France ..." Michel Contat

A NOUS PARIS - "Tribute to Cole Porter " Le romantisme, l'élégance sont étroitement liés à une œuvre élevée et sensuelle placée sous le signe de la vie et de la fête." V.J

CLASSICA REPERTOIRE Voilà un moment sans filet, sans refuge possible, l’épreuve du feu. Manu Le Prince y révèle une sûreté de tempo et un swing moins répandus qu’on ne le croit chez nombre de chanteuses. l’album entier témoigne aussi de l’expressivité touchante, de la beauté du timbre, de la personnalité de cette chanteuse... " 
Jean-Pierre Jackson

CLAUDE CARRIERE - Tribute to Cole Porter " ..mélodies presque entièrement chromatiques avec de fréquentes modulations harmoniques… Le grand art de l'interprète rejoint ici celui de l'auteur."

FRANCE INFO - Madrugada  "...  Chanteuse de Latin Jazz, Manu possède sans aucun doute l'une des plus belles voix dans ce domaine ... cette brésilienne de cœur mêle avec sensualité, chaleur et élégance, le jazz et la bossa." Germain Treille "Tendance Jazz"

JAZZ MAGAZINE
" ..de sa complicité avec Hermeto Pascoal sont issus deux titres : Bébé et Coraçao, duo avec le maître au piano acoustique...la voix charnelle met en valeur une quinzaine de titres à l'orchestration élégante et aérée»." Philippe Deneuve

JAZZMAN - "Princesse. Manu Le Prince possède une voix, une vraie, une de celles qui produisent sur l’auditeur la saveur d’un fruit sauvage.." Alain Thomas

L'EST REPUBLICAIN - Madrugada "..Tout est contenu, là,  au creux de sa musique. Morceaux triés avec amour, revisités avec respect ou compositions lumineuses, la voix de Manu est là, belle, sensuelle, enivrante, aimant jouer sur les inflexions et  atteindre la corde sensible sur la pointe de l'aurore..." Vincent Oudot

L'HUMANITE - Madrugada" Manu "... Fiançailles princières du jazz et de la samba...pulsations latines, félinité de la bossa, vitalité du bop, parfum de flamenco..." Fara Couderc

And more..... below

ALBUM REVIEWS

Presse "CHILDREN OF THE NIGHT" 

Le Monde.fr - Septembre 2022
"Children of the Night" - En 2014, le saxophoniste Wayne Shorter avait déjà reçu un hommage phonographique par son collègue Dave Liebman au sein d’un big band. Cette fois, c’est la chanteuse et pianiste Manu Le Prince qui célèbre la musique de Shorter avec Children of the Night, titre d’une composition de 1961 du saxophoniste pour l’album Mosaic des Jazz Messengers d’Art Blakey dont il faisait alors partie. Voix chaude, expressive, Manu Le Prince va au-delà de la traduction vocale du jeu de Shorter, en écrivant des textes qui évoluent sur les courbes mélodiques. Elle chante ce « son de la musique qui me donne le frisson » dans Eleanora (Lady Day), qui était un hommage de Shorter à Billie Holiday enregistré en 1965 pour l’album The Soothsayer ; « les mers des harmonies » dans Children of the Night ; un univers de lumières et de mouvements dans Footprints (1966)… Avec elle, un quartette, où le saxophoniste Irving Acao est dans l’évocation des sinuosités, les fluidités de Shorter, et quelques invités. Tous de haute tenue, dans un plein accord avec la chanteuse.
Sylvain SiclierLe Monde

Telerama Sept 2022
Rendre hommage à Wayne Shorter est une chose à laquelle peu de saxophonistes peuvent prétendre. Alors une chanteuse ...mais voilà. Le maître en personne a poussé Manu Le Prince et, - faut-il le préciser ? - il a eu raison. En substituant des mots aux notes du saxophoniste, Le Prince a réalisé un disque (Children of the Night) lumineux et courageux qu'elle peut présenter avec fierté. 
Louis-Julien Nicolaou - Télérama

Paris-Move
Children of the Night
: "...Manu Le Prince a participé a des aventures telles que Urban Sax, Magma et Odeurs, tout en accompagnant Bernard Lavilliers en tournée, avant de s’expatrier au Brésil, dont elle apprécie de longue date la musicalité. Y ayant bénéficié de rencontres décisives (Milton Nascimento, Hermeto Pascoal ou Tatau Caetano, batteur  de São Paulo qui deviendra son nouveau compagnon), elle enregistre à son retour dans l’Hexagone son premier album solo, “Agora”, suivi de “Madrugada”, “In A Latin Mood”, ainsi que des hommages respectifs à Cole Porter et Johnny Alf (“Bossajazz Forever”). Jamais à court de défis, c’est en compagnie d’une dream-team où s’illustrent les percussionnistes Robertinho Silva et Minino Garay, le contrebassiste Felipe Cabrera, le batteur Lukmil Perez, le superbe pianiste Leo Montana, ainsi que les saxophonistes Irving Acao (également en charge des arrangements) et Baptiste Herbin (sans oublier ses propres rejetons, Gaël et Julian Leprince-Caetano), qu’elle se propose à présent d’adapter une demi-douzaine d’originaux du mythique Wayne Shorter, quitte à les doter pour la circonstance de lyrics de son cru. Dès le majestueux “Eleonora (Lady Day)” introductif, on mesure avec quelle ferveur et quelle exigence Manu et ses hommes se sont investis dans ce projet. Assortissant de breaks latins le “Speak No Evil” de Shorter, ou “brazilianisant” la plage titulaire (avec le sax sinueux de Baptiste Herbin, et les ivoires virevoltants d’un Montana en état de grâce), Madame Le Prince surplombe magistralement ces adaptations de son timbre subtilement voilé. Milton Nascimento n’est pas en reste, puisqu’elle reprend également dans leur langue originelle ses propres “Tarde” et “Vera Cruz” (avec le bassiste Acelino De Paula, le pianiste Kiko Continentino et Zaza Desiderio aux drums), les restituant avec une verve jazz-bossa irrésistible. Qu’elle transpose (en portugais) le “Footprints” de Shorter (“Caminho Solar”) ou encore ses “Infant Eyes” et “Beauty & The Beast”, elle tutoie avec grâce et conviction les sommets parcourus en leur temps par Stan Getz, Ella et Gillespie sur les répertoires de Jobim et Gilberto. Adoubé par Shorter et Hermeto Pascoal in person, voici donc un sérieux candidat aux “Chocs du Jazz” de ce millésime ! 
Patrick Dallongeville - Paris-Move, Blues Magazine, Illico & BluesBoarder

paris-move.com
En mettant en paroles les grands standards du répertoire du saxophoniste, qui l’a encouragée sur ce projet d’album, la Diva, ambassadrice reconnue du latin jazz en France et dans le monde, rend un vibrant hommage au musicien natif de Newark (1933!). Elle a rassemblé, pour réussir cette oeuvre, une pléiade de musiciens cubains, brésiliens et français. Six titres sont signés Wayne Shorter, deux du musicien brésilien Milton Nascimento et un de son compatriote Kiko Continentino en collaboration avec la chanteuse pianiste percussionniste. Et l’on retrouve Irving Acao au sax, Leo Montana ou Julien Leprince-Caetano au piano, Felipe Cabrera à la contrebasse, Lukmil Perez à la batterie, Robertinho Silva, Gael Le Prince-Caetano ou Minino Garay aux percussions, mais aussi Baptiste Herbin, Acelino de Paula, Zaza Desiderio… Une musique qui, comme le titre de l’opus l’indique, est faite et jouée pour être écoutée la nuit. Délicatement chahuté entre le nord et le sud, on se laisse totalement envouter par la voix de Manu Le Prince et les accompagnements de ses musiciens. Une superbe invitation aux voyages (au pluriel).
Dominique Boulay Paris-Move & Blues Magazine (Fr)

Children of the Night - Avec en sous-titre : Tribute to Wayne Shorter. Et je suis face à ce que je n’aime pas chroniquer. Comme je ne suis pas musicien pour deux sous, je ne peux vous éclairer sur la 7ème mesure de la plage 3, ni sur le tempo particulier de tel ou tel morceau. Mon appréciation se limite à une question de goût que je peux parfois justifier avec des références et des images. Là, en plus, il s’agit d’un ‘hommage’. À mon avis genre difficile qui, pour être réussi, exige au moins trois choses. D’abord une bonne connaissance de celui ou celle à qui on le rend. Ensuite des talents et qualités au moins aussi denses. Enfin au choix du courage ou de l’inconscience. On notera que l’immense saxophoniste a soutenu et encouragé le projet de la chanteuse. Pour ce qui est du talent de Manu Le Prince, je pense qu’il est incontestable. Là la voix s’accorde, pour moi, avec intelligence aux notes. Normal me direz-vous, pas si sûr ! La chaleur du timbre colle aux sons des instruments rehaussée par des touches espiègles… Et puis embarquer dans l’aventure de grands noms du jazz comme Milton Nascimento, par exemple, me semble un signe de qualité. Pour ce qui relève de la ‘connaissance’ de Monsieur Wayne Shorter, je crois qu’il suffit de l’écouter jouer avec ceux qu’il a/qui l’ont accompagné(s). Sa musique est prenante. Certainement à cause de ou grâce à l’instrument mais pas uniquement… C’est une question d’âme, sans doute. Avant de vous conseiller une façon d’écouter, une petite remarque sur la photo sépia de la pochette. Le sépia donne une douce chaleur et le sourire attendri de Manu Le Prince – que l’on imagine aussi sous-tendre sa voix – la fait rayonner.
Je vous conseillerai de faire appel à un assistant après avoir installé votre fauteuil entre les deux baffles, de vous asseoir confortablement, de prier l’assistant de lancer la musique et de sortir en éteignant la lumière… Vous réécouterez vos Wayne Shorter après…
Noé Gaillard - DAILY PASSION  -

 

Focus sur Manu Le Prince et « Children of The Night 

Hommage à Wayne Shorter

Focus sur Manu Le Prince et 'Children of the Night'Avec « Children of The Night », Manu Le Prince rend hommage à Wayne Shorter, saxophoniste et compositeur essentiel de l’histoire du jazz. Entourée d’un aréopage de musiciens français, cubains et brésiliens, elle met en parole quelques-uns des grands standards du mythique jazzman dont les qualités de mélodiste font l’unanimité. Depuis plus d’une vingtaine d’années, Manu Le Prince se partage entre Paris et Rio. Brésilienne de cœur, la chanteuse, autrice et compositrice aux origines anglo-argentines mêle avec réussite le jazz qui a bercé son enfance à la musique ethnique ou brésilienne. Après deux albums hommages à Cole Porter et à Johnny Alf, après l’élégant « In a Latin Mood » (Plaza Mayor Company Ltd/Sergent Majot Company Ltd) sorti en 2017 et coréalisé avec Minino Garay, Manu Le Prince revient avec « Children of The Night » (Frémeaux & Associés/Frémeaux & Associes, Socadisc, Believe) sorti le 26 août 2022. Sur le lumineux « Children of The Night » Manu Le Prince reste fidèle à l’esprit de l’œuvre de Wayne Shorter. Tout en prenant ses distances avec l’écriture originale, elle pose ses paroles sur les instrumentaux. Avec délicatesse et souplesse, elle s’approprie les morceaux qu’elle projette dans ses propres territoires, entre musique brésilienne et jazz. « Children of The Night »

Manu Le Prince livre cet opus en hommage au grand saxophoniste et compositeur Wayne Shorter, avec les encouragements du maître qui a lui-même validé ses paroles sur quatre de ses musiques. L’opus retrace plusieurs périodes du parcours musical de Wayne Shorter dont celle avec le chanteur brésilien Milton Nascimento. Le disque porte le nom du titre composé par Wayne Shorter en 1961 pour l’album « Mosaic » des Jazz Messengers d’Art Blakey dont il faisait alors partie.

Manu Le Prince s’est entourée d’une solide équipe au sein de laquelle est perceptible une belle osmose : Irving Acao aux saxophones et arrangements, Leo Montana au piano, Felipe Cabrera à la contrebasse, Lukmil Perez à la batterie et d’autres invités parmi lesquels le saxophoniste Baptiste Herbin, les comparses de Milton Nascimento, le pianiste Kiko Continentino et le percussionniste Robertinho Silva, le percussionniste Minino Garay, le batteur Zaza Desiderio, le bassiste Acelino de Paula et ses fils Julian Le Prince Caetano (piano) et Gael Le Prince Caetano (percussions).

De titre en titre

D’emblée, la voix chaude et sensuelle de la chanteuse installe un climat chargé d’émotion sur Eleanora, le titre d’ouverture. La chanteuse reprend et étire la mélodie de Lady Day écrit par Wayne Shorter en hommage à Billie Holiday et enregistré en 1965 chez Blue Note sur l’album « The Soothsayer ». Au fil de son solo, l’alto lyrique de Baptiste Herbin déroule ensuite des spirales sinueuses puis fait alterner délicats frémissements et accélérations foudroyantes.
Le répertoire se poursuit avec Speak No Evil, une autre composition de Wayne Shorter qui a donné son nom à l’album du saxophoniste sorti en 1966 chez Blue Note. Après avoir exposé le thème, la voix puissante au timbre légèrement voilé cède la parole au ténor musclé d’Irving Acao puis Leo Montana virevolte sur les touches blanches et noires. Break après break, le morceau se déroule sur un tempo aux accents latins. C’est ensuite avec un brin de romantisme que résonne le piano de Julian Le Prince Caetano sur Introduction My Children of The Night. Par la suite, la voix de la chanteuse brille de tous ses éclats sur Children of The Night écrit par Wayne Shorter et enregistré en 1961 sur l’album « Mosaic », alors qu’il jouait avec Art Blakey & The Jazz Messengers. Une fois de plus, l’alto aérien de Baptiste Herbin fait preuve d’une étonnante volubilité et d’une maîtrise inouïe.
Accompagnée du bassiste Acelino de Paula, du pianiste Kiko Continentino et du batteur Zaza Desiderio, Manu Le Prince propose une version magistrale de Tarde, la composition de Milton Nascimento enregistrée en 1974 par Wayne Shorter sur son album « Native Dancer » sorti en 1975. De sa voix grave et voilée, la chanteuse étire le tempo au-dessus des envolées gracieuses du soprano de Baptiste Herbin avant que le piano ne fasse entendre ses interventions inspirées et lumineuses.
Avec Caminho Solar, Manu le Prince transpose en portugais le célèbre Footprints composé par Wayne Shorter. A ses côtés, le saxophone soprano d’Irving Acao s’enflamme et invite l’oreille à le rejoindre dans son univers coloré. Plus loin, Manu Le Prince parvient à restituer le climat sonore unique de Milton Nascimento à travers sa composition Vera Cruz. Sur un tempo bossa un peu rapide qui flirte avec samba et jazz, s’expriment tour à tour, la voix puissante de la chanteuse et le piano de Kiko Continentino qui n’hésite pas à emprunter des chemins escarpés.
Le répertoire se poursuit avec la célèbre composition de Wayne Shorter, Infant Eyes, enregistrée en 1964 sur l’album « Speak No Evil » sorti chez Blue Note en 1966. Avec grâce et conviction, Manu le Prince chante en anglais sur un tempo médium alors que le soprano vagabonde et projette avec bonheur ses volutes ascensionnelles dans l’espace musical. Avec le court Bass Prelude, la basse tellurique de Felipe Cabrera introduit la composition de Manu Le Prince, Hugs and Roses, sur laquelle les musiciens développent une musique intimiste empreinte de romantisme.
C’est ensuite sur un tempo funky et groovy que la chanteuse interprète la fameuse compositon de Wayne Shorter, Beauty & the Best, qu’elle a renommée From Soul To Soul et sur laquelle elle a posé des paroles en anglais. Sur cette version singulière du titre, les envolées du soprano d’Irving Acao sont du meilleur effet et participent pour beaucoup à la musicalité du morceau. L’album se termine avec Blue Cat que la chanteuse interprète avec le pianiste Kiko Continentino, compositeur de ce thème que le duo interprète avec élégance et sobriété.
Nicole Videmann - Latins de Jazz

 

Children of The night … Tribute to Wayne Shorter / Frémeaux & Associés
Manu Le Prince (vocal), Irving Acao (sax, arrangements), Leonardo Montana (piano ), Felipe Cabrera (basse), Lukmil Perez (batterie)+ invités (àvoir sur les notes de pochette)

On le sent, on le perçoit aussitôt : sa langue vernaculaire de chant, c’est bien celle du Brésil, pays qu’elle a adopté pour ses musiques, pays continent dont elle a arpenté les scènes, terre natale du père musicien de ses enfants. Alors dans sa bouche, dans la vibration douce de ses cordes vocales Tarde aussi bien que Vera Cruz ou encore Caminho Solar– version chantée du mythique Footprints des années d’or de Blue Note- sonnent aux accents parfaits cariocas, nordeste et compagnie. Pourtant le sujet de ce nouvel album passe bel et bien par une référence -référence ?- aux talents de compositeurs de Wayne Shorter. Sa voix suave, mesurée, maîtrisée l’y sert au premier chef. Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste sacralisé chez Miles Davis déjà, « mondialisé » via Weather Report pour ensuite un aboutissement au sein de son quartet jusqu’à ce jour (My Children of The night, Infant Eyes) Justement, comment ne pas souligner, comment passer sous silence cette façon très personnelle dans Speak no Evil boostè par le changement de tempo via la voix, le phrasé, de marquer les découpes, les articulations de la partition. Pour l’aider dans cette tâche ambitieuse Manu Le Prince bénéficie du travail d’orfèvre -d’horloger de l’impro ?- d’un trio de cubains installés à Paris. Felipe Cabrera, son de basse chaude à souhait ; Lukmil Perez, rythmique musicale de baguettes souples; Irvin Acao aux sax -mais instigateur aussi de subtils arrangements- et sa prodigalité en souffles de rondeurs, de nuances comme il sied à celui qui souhaite passer pile dans les pas chassés de Shorter. Surtout en ce tableau d’humeurs ne faudrait-il pas oublier Leonardo Montana. D’abord car les racines brésiliennes du pianiste confèrent toute sa légitimité à sa participation à ce projet. De quoi apporter au naturel à cette palette de musiques shorteriennes le sens des couleurs idoines, autant de traits de lumières nécessaires également dans la construction de son discours de piano (Blue Cat). Son parcours, ses expériences l’avaient conduite hier des voix de Magma à celle de Urban Sax, au compagnonnage musical entr’autres de Francis Lockwood jusqu’à celui plus récent de Minino Garay pour un projet enregistré fin 2017 sur des compositions de pianistes de jazz. Avec toujours au beau milieu de ces étapes nombre d’incursions vocales pour et par des périples tracés au Brésil. Avec cet album Children of The night, ouvrage solaire réalise en hommage à la constellation Wayne Shorter, Manu Le Prince signe un bel et beau retour à de riches échos de jazz.
Robert Latxague - le blog du blagueur

 

Manu Le Prince
Chiidren Of The Night
(Tribute To Wayne Shorter)
1 CD Frémeaux & Associés / Socadisc

NOUVEAUTE.Manu Le Prince a d’abord fait ses armes chez Magma, Urban Sax, Bernard Lavilliers et Novos Tempos avant de créer ses propres formations. Elle revient avec un projet ambitieux servi par un orchestre de première classe.
Depuis plus de vingt ans, Manu Le Prince vit entre la Franco et le Brésil. qui est devenu sa seconde patrie, comme en a témoigné l’excellent "BossaJazz For Ever” qu’elle enregistra en 2013 en hommage à Johnny Alf, l’un des pionniers de la bossa nova. A une époque où beaucoup de chanteuses reprennent le répertoire brésilien en oubliant l’atmosphère particulière qu’il demande, Manu Le Prince nous avait surpris par l’authenticité et le côté charnel de ses interprétations. Qu’elle s’attaque aujourd’hui au répertoire de Wayne Shorter pourra surprendre, mais ce serait oublier que le saxophoniste américain avait lui aussi une relation particulière avec la musique brésilienne (rappelez-vous de son album “Native Dancerw avec Milton Nascimento). Elle a donc commencé par mettre des paroles sur certains morceaux du maître (avec son assentiment) avant de réunir autour d’elle un quartette de cadors capable de trouver l’équilibre entre le jazz et la latinité qu’elle affectionne, plus quelques Invités judicieusement choisis, tels Kiko Continentino, Baptiste Herbin ou Minino Garay. Quant à Manu Le Prince, si on connait ses qualités vocales depuis longtemps, on est toujours épaté par le cœur qu’elle met dans ce qu’elle chante. Et sa voix chaude qui aime descendre dans le grave est un joyau scintillant dans un écrin sur mesure. Une réussite totale qui sonne “vrai” pour un projet qui n’aurait pas supporté l'à-peu-près.
Philippe Vincent
Manu Le Prince (voc), Irving Acao (ts), Leo Montana (p), FelIpe Cabrera (b), Lukmil Perez (dm) + invités. Studio de Meudon.

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MANU LE PRINCE ‘IN A LATIN MOOD’ CD (PLAZA MAYOR COMPANY LTD) 4/5
UKVIBE December 2018 
Manu Le Prince is possibly the foremost exponent of latin jazz in France. She has a distinctive vocal delivery which instantly entices the listener into her sound world. On the tile track which opens the album, she sings in English with a warm vocal timbre. She is also an accomplished song writer and lyricist and many of the songs on this album are written by Manu.
Known to many listeners for her work with the Brazilian musical wizard Hermeto Pascoal, Manu began her career in music in London at the age of nineteen. Jazz was in her blood from a very early age, and she cites being rocked to sleep by her mother singing Irving Berlin’s 1935 hit song ‘Cheek to Cheek’. In France she sang in jazz-rock groups or as a solo soprano vocalist. It wasn’t too long before Manu decided to form with her own group and after a lengthy stay in Brazil began to work on developing her own style and repertoire. Her first album under her own name, ‘Agora’, was released in 1991.
Stylistically, Manu works at the intersection between Jazz and Brazilian music. However, in 2007, rekindling her childhood passion for Jazz, she recorded ‘Tribute to Cole Porter’ in recognition of the song-writing genius.
With several albums already under her belt, this one has been in preparation since 2016. As well as singing in English, elsewhere on the album she sings in Portuguese and French and employs some of the best musicians currently active on the French Jazz scene. The repertoire is nothing less than eclectic. In places she puts her own words to melodies supplied by Privat, Kenny Barron and others. Above all this music is easy to listen to and therefore easy to enjoy. Each track is a minor masterpiece and several have the capacity to become instant ear worms. Pianist Grégory Privat is possibly the best known of her collaborators on the album, although all of the musicians are top class. On some pieces accordion is added and works particularly well. At other times saxophone, percussion and flute are added to the sound mix to stunning effect. This is not an out and out jazz record but fits in the easy listening category, but this is not to devalue the accomplished musicianship on display here. There should be something for all tastes to enjoy and inevitably, the music of the Bossa Nova shines through.
It’s almost as if the vocalist is a contemporary Calypso enchanting us with her singing and who wouldn’t want to be detained on her most musical of islands?
You can catch Manu live in Paris on 18th January 2019 at Duc des Lombards where she will be showcasing music from the album.
Alan Musson

Le Monde.fr - septembre 2018
ACTUALITÉ, JAZZ, MUSIQUE, 
MUSIQUE DU  MONDE, SOUL RNB, WEBLOGS

MANU LE PRINCE – ALBUM "IN A LATIN MOOD"

Un vent du Brésil, une conquête de l’Ouest,une passionaria du jazz français… Il y aurait tant de superlatifs et relatifs à poser comme étiquette à une Manu Le Prince. Mais les étiquettes, petits timbres épistolaires, ne disent jamais rien de bon, alors laissons entrer la résonance Manu Le Prince.
Un nom magique, une voix qui surfe sur les tempos brésiliens et qui s’attarde pertinemment sur une reprise de Claude Nougaro : « Il faut tourner la page ».La page des clubs parisiens, du jazz d’estrade et du jazz Saint Germain accrochée aux lampadaires d’un Paris la nuit. 
La page des musicos : brésiliens, français… venant trouble le sommeil et remuant un éternel beat. La page de ses mélos que le jazz véhicule, d’un carrosse flamboyant à l’équipage tanguant de nuits d’ivresse musicale.Il y a tout cela dans le timbre Manu Le Prince, le partage de l’émotion et l’ouvrage du temps du jazz. Cela fait des mémoires, des images de cartes postales et un sentiment vrai, bâti sur des mélodies.
Manu Le Prince esquisse un « In a Latin Mood » et s’esquive quand nous avons l’atteint le Mood. Bravo.
Hellen Page - Monde Music Info

 

Jornal "A TARDE -  juin 2018

"Em atmosfera latina,  Manu,  la princesse franco-brésilienne.

- Sur la photo de Duda Tawil , Manu Le Prince et Minino Garay, en collaboration sur l'album -
Chanteuse et auteur-compositeur française à l'âme brésilienne, au point de venir au Brésil deux fois par an depuis 26 ans - principalement à Rio qu'elle aime passionnément -, Manu Le Prince vient de lancer son dernier CD "d'humeur latine" ou  "In a Latin Mood" en anglais), artistiquement produit par elle et Minino Garay, dans une très heureuse collaboration. Il y a 11 morceaux, dont elle a écrit tous les textes sauf "Il Faut tourner la Page" de Claude Nougaro é Philippe Saisse. Tous les autres titres sont des compositions de grands musiciens, et parmi eux "Let de Music take care of You" de Julian Le Prince Caetano, et un titre emblématique qui se nomme "Paris et Rio" de Baptiste Trotignon (également compositeur du titre de l'album "In a Latin Mood") et qui résume ainsi la cohabitation dans l'âme de Manu, des deux pays, des deux villes, des cultures qui se complètent dans son coeur.
Duda TawilColuna de July /Salvador (Juin 2018)

La Terrasse - avril 2018
"Après deux hommages, à Cole Porter puis Johnny Alf, la chanteuse revient dans son nouvel album à un répertoire de compositions originales.
Grande dame du Latin Jazz, Manu Le Prince est l’une des vocalistes les plus attachantes de la scène française. Si les couleurs ambrées et chaudes de sa voix font merveille dans les standards et la musique brésilienne – Rio est, avec Paris, sa terre d’adoption –, elle peut aussi s’épanouir dans les compositions originales portant ses propres textes. C’est le cas dans son ambitieux et dernier opus en date, « In A Latin Mood”, réalisé sous la houlette du bouillonnant Minino Garay, où elle a fait appel aux plumes de la fine fleur du jazz français, parmi lesquels Baptiste Trotignon, Gregory Privat ou Giovanni Mirabassi, mais aussi à Kenny Barron. Elle chante pour un soir en quintette sur la nouvelle scène du Montparnasse Jazz Café (l’ancien Petit journal de la rue Commandant Mouchotte), magnifiquement entourée... Jean-Luc Caradec

Jazz Hot - Avril 2018   "Après avoir collaboré, en début de carrière, à des projets fort différents (Magma, Urban Sax, Bernard Lavilliers…), Manu Le Prince a trouvé sa voie avec la musique brésilienne. Revenue de plusieurs séjours au pays de la bossa, effectués dans les années 80 et 90, elle monte un premier quartet jazz (musique qui a bercé son enfance) avec son compagnon, le batteur Tatau Caetano (avec lequel elle a eu deux fils présents sur cet album) ainsi que Francis Lockwood (p) et Carlos Werneck (b). Ensemble, ils sortent l’album Madrugada (Next, 2003).
Avec ce dernier opus, In a Latin Mood, Manu Le Prince est de nouveau à la croisée des chemins qu’elle aime emprunter: la musique brésilienne, le jazz et la chanson. Elle s’y exprime d’ailleurs en anglais, en brésilien et en français. Ayant fait le choix de poser des paroles sur des compositions originales (signées Baptiste Trotignon, Grégory Privat, Marc Berthoumieux et même Kenny Barron) –à l’exception de «Il faut tourner la page» de Claude Nougaro–, elle délivre un album délicat, qui reflète bien sa personnalité musicale, jazzy et colorée, inégal quant aux titres proposés,  l’un des plus marquants étant, fort logiquement, celui emprunté au grand Kenny Barron, «Twilight Dream», auquel Giovanni Mirabassi insuffle relief et swing." Jerôme Partage

Tournée au Brésil  (février mars)

Réveillon Jazzy
31 décembre 2017 : Manu Le Prince en concert au Sunside Son monde vocal balance entre son amour pour le Brésil et le latin jazz, Manu Le Prince enflammera les dernières heures de 2017 aux sons de son "In a Latin Mood" Quintet. Caliente!
Didier Penenquin - Le Quotidien du Médecin

Jazz Radio
Le 6 décembre 2017 : Jazz Radio présentait Manu Le Prince en showcase au Docks 40

On l'a retrouve avec un nouvel album "In a Latin Mood". De grands noms dujazz ce sont retrouvezautour de ce projet, on peut citer Baptiste TrotignonGiovanni Mirabassi, Marc Berthoumieux, LaloZanelli et même son fils Julian Le Prince-Caetano...

 

 

Académie du Jazz 
23  octobre 2017
MANU LE PRINCE IN A LATIN MOOD*
Au NEW MORNING de PARIS, LE 26 Octobre
"On se sent bien dans ce nouvel album de Manu, comme chez soi, avec cette présence complice des choses qui ne sont pas complètement à leur place tout en y étant, juste de quoi stimuler l’inconscient pour profiter d’un temps décalé.
Une fois posé sur la platine, cette petite chose ronde vous embarque dans une déambulation ou le magique le dispute à la séduction, le réalisme à l’onirique et dans laquelle Manu (auteure de la majorité des textes – brésiliens, anglais, français …) et ses compagnons de route**, une des crèmes de la crème de la scène jazz actuelle vous font batifoler à longueur de sillon (pardon, pour rester correct, il faut maintenant parler d’octet, mais ne désespérons pas, la mode revient au vinyl !).
Dans la vraie vie, Gregory Privat (p), Thomas Bramerie (b),  Lukmil Perez (dr), l’accompagneront au NEW MORNING DE PARIS, le JEUDI 26 OCTOBRE, avec beaucoup d’autres, (G.Mirabassi, R.Mascarenhas )… et même notre stratosphérique Baptiste Herbin, stimulé par son concert de la veille au « Jazz en Tête » de Clermont-Ferrand et les jam-sessions qui suivent … jusqu’à la soupe à l’oignon) "
*MANU LE PRINCE, «In a Latin Mood». 2017. Plaza Mayor Company Ltd, MCPS SERG 185.
** Baptiste Trotignon Gregory Privat, Giovanni Mirabassi, Marc Berthoumieux, Lalo Zanelli, Minimo Garay, Julian Le Prince Gaetano, David Linx ...
Francis CapeauAcadémie du Jazz

In a Latin Mood
"A travers différents chemins musicaux ce splendide album de Manu le Prince vagabonde à travers un éclectique répertoire latin qui renforce cette originale approche par un style ouvert aux notes colorées. Elle  a su réinventer un son plus personnel construit  à travers ses rencontres qui propose un voyage avec de  solides musiciens qui lui apportent un appui qui lui permet d’affirmer sa touche jazz, au cœur de ses influences et propres racines,  avec une vision  multi-culturelle par des effets mélodiques  qui cohabitent avec différentes combinaisons qui offrent une belle alchimie et apportent cette touche moderne et contemporaine. 
La justesse de ses interprétations libère une pétillante inspiration dont ses belles propositions sonores développent plusieurs phases qui traversent des somptueux univers acoustiques ou l’alternance des instrumentations renforce ses splendides compositions par plus d’ouverture. Elle construit  des thèmes par la polyvalence des accords légers qui entraînent d’efficaces cadences et une fraicheur instrumentale qui permet d'évoluer vers la richesse de ses influences traditionnelles ou cohabitent de solides et merveilleux arrangements. 
J'ai adoré cette belle cohabitation d’un jazz latino pimenté par cette fraîcheur et ses différentes alchimies."
Alain Dupeu - Radio EC

JAZZ - Chanteur et chanteuses  . Mille et une voix.
 Un constat: c'est grâce aux (rares) chanteurs et aux chanteuses que le jazz doit principalement sa survie et sa popularité de nos jours. 3 nouveautés en témoignent une fois de plus, Grégory Porter, Manu Le Prince, Cécile Mc L. Salvant

Mariages musicaux
Manu le Prince a deux amours : le Brésil et le jazz. Des amours qui ont ponctué sa longue carrière, marquée récemment par un hommage à Johnny Alf, pionnier de la bossa-nova, et au parolier/compositeur mélodiste de Broadway, Cole Porter. Avec « In A Latin Mood » (Plaza Mayor Company Ltd/Emi), elle réalise avec brio et réussite vocale plusieurs mariages.
Pour l'écriture de compositions originales, qu'elle a mises en parole en anglais, la chanteuse a fait appel à certains des meilleurs éléments de la scène jazz actuelle, les pianistes Baptiste Trotignon, Gregory Privat, Giovanni Mirabassi, son fils Julian Le Prince-Caetano,  l'accordéoniste Marc Berthoumieux. Avec en plus deux très belles reprises, « Twilight Dream », de Kenny Barron, et « Il faut tourner la page » de Claude Nougaro. Et pour parfaire le travail, des invitations ont été lancées à David Linx (voix), Baptiste Herbin (sax) et des musiciens brésiliens. Un bel album personnel, audacieux et surprenant pour ses fans, aux confluents de plusieurs genres. Manu Le Prince sera le 26 octobre au New Morning à Paris.
DIDIER PENNEQUIN - Quotidien du Médecin (octobre 2017)

Rythmes élégants aux couleurs latines
Pour son nouveau projet, « In a Latin Mood » la chanteuse Manu Le Prince revient à des musiques originales. Elle fait appel à la fine fleur de la scène jazz actuelle et coproduit son album avec Minino Garay. Opus soigné et élégant.
Depuis plus d’une vingtaine d’années la chanteuse Manu Le Prince partage sa vie entre Paris et Rio. Après un hommage à Cole Porter et à Johnny Alf pionnier de la bossa nova, elle revient à la création avec son nouveau disque « In a Latin Mood » (Plaza Mayor Company Ltd / Sergent Major Company Ltd) qu’elle coréalise avec le percussionniste argentin Minino Garay.
Pour ce nouvel opus sorti le 06 octobre 2017, Manu Le Prince s’entoure d’un all stars de jazz qui réunit le pianiste Gregory Privat, le contrebassiste Thomas Bramerie, le batteur Lukmil Perez et le percussionniste Minino Garay. Ces brillants instrumentistes sont rejoints par les invités tout aussi prestigieux que sont le chanteur David Linx, le pianiste Giovanni Mirabassi, le saxophoniste Baptiste Herbin, le batteur Zaza Desiderio, l’accordéoniste Marc Berthoumieux, le bassiste Acelino De Paula, le saxophoniste Raul Mascarenhas et ses fils le pianiste Julian Le Prince Caetano et le batteur percussionniste Gaël Le Prince Caetano.
Sur « In a Latin Mood » la chanteuse écrit des textes en anglais, en brésilien et s’offre même une reprise en français du titre Il faut tourner la page de Claude Nougaro et Philippe Saisse, sous les accords de Grégory Privat et les notes du saxophoniste Baptiste Herbin. Si l’on excepte cette reprise, Manu Le Prince pose sa voix et ses textes sur des instrumentaux inédits.
Ainsi l’on découvre des morceaux composés par la jeune génération des musiciens qui l’entourent. Deux titres du pianiste Baptiste TrotignonIn a Latin Mood qui donne son nom à l’album et Paris et Rio. Deux compositions du pianiste Gregory PrivatDreams of Peace et Serenade ainsi que Like Castles in the Air, un morceau du pianiste Giovanni Mirabassi. Deux thèmes de l’accordéoniste Marc BerthoumieuxSempre Voltar et Avarandar éclairé des superbes interventions de David Linx, sans oublier Let the Music Take Care of You de son fils Julian Le Prince-Caetano et … cerise sur le gâteau, Twilight Dream de Kenny Barron.
Sur « In a Latin Mood », le timbre chaud et sensuel de Manu Le Prince se prête tout à fait à l’interprétation de ces musiques qui mêlent jazz et musiques latines.  Cet album soigné privilégie l’élégance et l’esthétique...
Nicole Videmann LATINS DE JAZZ. . . & CIE  octobre 2017



JAZZMAN

Manu Le Prince
[...] vient de graver un “Bossa Jazz For Ever” (*) plein d’authenticité qui révèle une relation charnelle avec sa terre d’accueil. En outre, quelle belle idée de rendre hommage à JohnnyAlf, un des pères fondateurs de la bossa nova qui vécu dans l’ombre de la Sainte Trinité Jobim-Gilberto-Vinicius. La voix chaude de Manu Le Prince qui aime descendre dans le grave, les rythmiques emmenées par Rafael Barata, le saxophone sensuel d’Idriss Boudrioua (vieux compagnon de route de Johnny Alf), tout, cette fois, nous emmène à Rio.
PHILIPPE VINCENT - JAZZMAN - 2013
(*) SOUS LA VILLE /SOCADISC


Manu Le Prince, le Jazz et la Bossa
Consacré aux compositions de Johnny Alf, pionnier de la Bossa Nova dans les années 50, le nouveau disque de Manu Le Prince, « Bossajazz for ever  » sera dans les bacs le 17 septembre.

Manu Le Prince, originaire d’Angleterre,  installée un temps dans le Midi se partage entre Brésil et France et a collaboré aussi bien avec « Urban Sax », qu’avec Bernard Lavilliers, « Magma », Hermeto Pascoal et tant d’autres.

Chanteuse à géométrie variable donc, mais fidèle au Jazz et à la Musique brésilienne.
Pour cet album, enregistré au Brésil, Manu est entourée d’Idriss Boudrioua, qui est aussi  le leader du groupe, au saxophone, Alberto Chimeli est au piano, Sergio Barozzo à la basse appuyé sur Rafael Barata, batterie, la section de cuivres est complétée par Michaul Custodio au bugle, Rubino Antunes à la trompette et Raul Mascarehas au saxophone et à la flute. Sur un morceau (« Fim de semana en Eldorado ») se rajoute à l’ensemble la flute ‘Eduardo Neves.
Un 7tet donc, ensemble déjà conséquent, permettant de subtils arrangements, qui sont tous sauf un,  d’Idriss Boudrioua
Johnny Alf, décédé il y a trois ans à l’âge de 80 ans a laissé un grand  nombre de compositions.
La voix limpide et évidente de Manu Le Prince sert fort bien ces compositions élégantes, d’une facture classique de bon aloi.
Ballades nostalgiques emplies de « saudade » cette mélancolie propre aux brésiliens, pièces au rythmes plus marqués, font de ce disque un joli voyage musical au coeur du Brésil, presque la carte postale d’un pays de dolce vita, on a, à son écoute, une forte envie de commander une Caipirinha au bar de l’hôtel le plus proche, de préférence avec vue sur la plage.
Les musiciens assurent en soutien une belle fluidité, apparemment nonchalante, mais d’une parfaite justesse harmonique, les arrangements étant très subtilement efficaces.  Beau disque, bien réalisé, plaisant, à écouter au calme, en fin de journée.
CD  Sous la ville  SLV201/distribution Socadisc
G.Kiosseff "La République du Jazz" - Le 13 Septembre 2013


Chanteuses d’aujourd’hui : La romance vocale [...]
Les vraies fiançailles entre le jazz et la bossa, il faut plutôt aller les chercher du côté de Manu Le Prince. La chanteuse française, qui fut longtemps mariée au batteur brésilien Tatau Caetano et qui partage sa vie entre Paris et Rio, rend, dans « Bossa Jazz For Ever » (Sous la ville/Socadisc), un vibrant hommage au compositeur Johnny Alf, un des pionniers du mouvement Nouvelle Vague, resté dans l’ombre de la trinité Jobim-Gilberto-Vinicius et décédé en 2010 à 80 ans. Et pour réussir son pari, Manu, qui possède une belle, fluide et chaude voix capable de descendre dans les graves, a fait appel à Idriss Boudrioua, saxophoniste- arrangeur d’Alf pendant trois décennies. Le voyage musical pour Rio, ses plages, ses Cariocas, ses Girls From Ipanema, c’est incontestablement avec la sensuelle et chaleureuse Manu Le Prince qu’il faut le faire.
Didier Pennequin
"Le Quotidien du Médecin"  2013


Tribute to COLE PORTER
Les Brésiliens l'ont adoptée comme une des leurs, ce qui n'est pas une mince affaire au pays de la chanson considérée comme un art de vivre. Parfaitement lusophone, elle se révèle tout aussi anglophone, quasiment de naissance. Elle peut donc se lancer sans problème, et à bonne distance de la bossa nova, dans la célébration jazzée d'un des plus talentueux  "song writers" américains, d'un des rares compositeurs-poetes, auteur à la fois des paroles et de la musique de toutes se œuvres. Cole Porter avait ainsi trouvé le moyen le plus sur de donner aux mots les notes adéquates …Homme raffiné , curieux des autres mondes et des autres gens , il partageait sa vie entre New York et Paris ,à l'image de Manu dont les rues de Rio n'ont plus de secrets …Cet esprit d'ouverture permet donc à la chanteuse d'explorer avec justesse et profit un répertoire que chacun croit connaître –tout le monde fredonne des bribes de Night And Day ou de I've Got You Under My Skin – mais qui recèle d'immenses richesses, et cache encore des territoires à défricher.Il en est ainsi d'All Through The Night ,chanson difficile, à la longue structure, sur une mélodie presque entièrement chromatique avec de fréquentes modulations harmoniques …Le grand art de l'interprète rejoint ici celui de l'auteur ,et le temps s'écoule sans que soit perçu l'effort de l'une et de l'autre..C'est évidemment le fruit de la passion et du métier, à moins qu'on croie au Père Noël…Il faut dire que la dame sait s'entourer, ou plutôt attire le talent de ceux qui sont venus en nombre lui donner la main, du grand Alain Jean-Marie, infaillible inventeur de tourbillons, aux Naturel, Betsch, Belmondo, Richardeau, Saussois, Lockwood, Rhoda et les fistons en personne, chacun ayant voulu ajouter sa couleur et laisser son empreinte. Ce qui a pour conséquence que Manu donne sans forcer le meilleur d'elle-même et qu'à parts égales son feeling et sa maîtrise investissent avec bonheur le riche répertoire de Porter . Les gourmets attentifs goûteront au passage l'intro de Belmondo dès l'ouverture du disque , les couplets peu fréquentés de Love For Sale et d'I Get A Kick Out Of You , le rythme impair sur lequel est donné From This Moment On , la sombre clarté de Miss Otis, l'archet souverain de Naturel au début de What Is This Thing…, le rare I Am In Love,écrit en 1953 pour "Can Can" , les noces réussies de l'orgue et de la voix dans All Of You , et mille autres petites choses qui font qu'au bout du compte s'ouvre l'esprit et s'épanouit le cœur…    
Claude CARRIERE

Concert de Manu Le Prince Quintet le 31 mars 2012 au Sunset :
"Manu Le Prince a une manière bien à elle de chanter Cole Porter, comme elle l'a demontré dans un disque qui change l'idée qu'on pouvait se faire d'elle comme adepte exclusive de la bossa- nova.
La princesse a deux amours c'est réjouissant, le Jazz et le Brésil."
Telerama
2012



* TABARKA JAZZ FESTIVAL *
"Après une ballade à Ain-Draham avec Soufiene Safta lundi dernier, la Basilique a accueilli la chanteuse brésilienne Manu le Prince pour une soirée mémorable meublée de musique et de chansons qui ont touché directement le cœur et le corps. Chanteuse sans frontières par excellence, amoureuse du Brésil, Manu Le Prince a offert un bouquet très riche et très varié où le jazz se mêle avec la bossa-nova. Le romantisme, l'élégance sont étroitement liés à une œuvre élevée et sensuelle placée sous le signe de la vie et de la fête. Une dizaine de chansons dont " Night and day ", " You don't know what love is", " Morning ", " Casa forte ", " One note samba "... Manu Le Prince improvise avec une grande sensibilité.. Une soirée pleine de charmes brésiliens et tunisiens aussi. Manu Le Prince est une des grandes révélations de la saison estivale."
Mokhtar Triki "LE TEMPS" 2009

JAZZMAN : PRINCESSE
Manu Le Prince possède une voix, une vraie, une de celles qui produisent sur l’auditeur la saveur d’un fruit sauvage. Elle sait aussi s’impliquer dans une interprétation avec une sincérité convaincante, une qualité réservée habituellement aux plus grands. Ses origines anglo-argentines et son statut de Brésilienne d’adoption lui permettent d’explorer l’univers de Cole Porter avec un éclectisme, une distanciation et un esprit d’ouverture qui restent garants de l’authenticité de sa démarche. Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter le rythme chaloupé de Love for Sale et la manière dont elle tire la quintessence des mélodies de I Get a Kick Out Of You et Let’s fall in Love. Là, Manu Le Prince signe des interprétations qui éclairent toute la subtilité des compositions de Cole Porter. Elle sait aussi choisir les bons partenaires : Alain Jean-Marie, Gilles Naturel et John Betsch constituent la section rythmique dont rêvent toutes les chanteuses. Elle a eu aussi la bonne idée de solliciter le talent d’invités de luxe dont les interventions parachèvent la réussite de l’ensemble. Achevé.
Alain Thomas "JAZZMAN" DECEMBRE 2008

"Jazz et Goûter " Manu Le Prince à Roland Garros :
"Manu Le Prince est une de ces chanteuses qui aiment le Jazz avec passion et celui-ci le lui rend bien quand elle chante Cole Porter mais aussi la Bossa Nova qu'elle a pareillement dans le sang.
Bonne idée que de lui amener notre progéniture en manque de musique qui n'a pas les doigts dans la prise".
Michel Contat "
Telerama" 2012

MANU CHANTE COLE PORTER : Le 2 mai 20h et 22h au Duc des Lombards . Manu Le Prince vient de sortir un disque qui ravit: des interprêtations parfaitement jazz des grandes chansons de Cole Porter auxquelles elle donne toute leur profondeur. C'est une très heureuse surprise.
Michel Contat
"Telerama"

CLASSICA Répertoire de A à Z en ligne : 2008. 60' Nouveauté Stéréo DDD http://www.qobuz.com/images/classica/critiques/note_son3.gif
Très bon enregistrement rendant justice au timbre de voix.
Notice http://www.qobuz.com/images/classica/critiques/note_notice1.gif(illustré, sans livret) La note de Classica :
Écoutez d’abord Just One of Those Things : le duo introductif avec la batterie de l’excellent John Betsch. Voilà un moment sans filet, sans refuge possible, l’épreuve du feu. Manu Le Prince y révèle une sûreté de tempo et un swing moins répandus qu’on ne le croit chez nombre de chanteuses.
Mais l’album entier témoigne aussi de l’expressivité touchante, de la beauté du timbre, de la personnalité de cette chanteuse. La rythmique parfaite à ses côtés, composée de Francis Lockwood, Gilles Naturel et John Betsch, les nombreux invités, généralement inspirés et complices du climat qu’elle sait créer, ne sont pas pour rien dans le charme continu de cet excellent album. Le choix du répertoire, les immortels standards de Cole Porter, ajoute encore, s’il le fallait, au plaisir sans arrière-pensée qu’il procure. Et si l’on s’aventurait à comparer Manu Le Prince à celles qui s’illustrèrent en ce domaine, par exemple Diana Krall et surtout Ella Fitzgerald, il faudrait convenir qu’avec sa personnalité propre elle s’en tire avec tous les honneurs. Ce qui n’est pas un mince compliment.
Jean-Pierre Jackson
"CLASSICA Répertoire"
MARS 2009

Manu Le Prince "Hommage à Cole"
La amateurs de voix chaude et sensuelle vont être comblés. Manu Le Prince, brésilienne de coeur et anglo argentine d'origine rend un brillant hommage au "song writer "américain Cole Porter dans son dernier album. LA chanteuse , comme pour son amour de la bossa nova brésilienne, se lance dans une célebration très jazz du grand auteur ont elle reprend 17 de ses standards.Elle s'en sort à merveille grâce à une vois suave et des musiciens hors pair (notamment Francis et Didier Lockwood, Stépane Belmondo). Il ne reste plus qu'à se régaler tranquillement assis sur son canapé, des notes légères de I've got You Under My Skin ou All Through The Night..."
"LA TRIBUNE - La Culture et moi" / Janvier 2009 

Manu Le Prince - Un hommage à Cole Porter. Chanteuse sans frontière par excellence, amoureuse du Brésil (et réciproquement) et passée par mille rencontres (du groupe Odeurs à Magma, de Lavilliers à Daniel Goyone), Manu Le Prince renoue aujourd’hui résolument avec le jazz. Elle a pour cela choisi le répertoire et les accompagnateurs idoines : les chansons inusables de Cole Porter (Love For Sale, I Get A Kick Out Of You, From This Moment On, Miss Otis, What Is This Thing, etc…) et une rythmique de rêve composée d’Alain Jean Marie (piano), Gilles Naturel (contrebasse) et John Bestch (drums) agrémentée par le saxophone de Xavier Richardeau. Après diverses apparitions remarquées en club dans cette formule, un album « Tribute to Cole Porter » sort aujourd’hui chez Sergent Major/Nocturne avec en prime une belle brochette d’invités (Stéphane Belmondo, Patrick Saussois, Didier Lockwood, Rhoda Scott, etc…). Pour la circonstance, Manu Le Prince s’offre et nous offre deux soirées live dans le club le plus brésilien de la capitale…
Jean-Luc Caradec
/ "La Terrasse" JANVIER 2009

Le 14 mars au Sunset, 60 rue des Lombards : Chanteuse sans frontières, Manu Le Prince a toujours eu deux amours : la musique brésilienne et le jazz de son enfance. Vocaliste au sein de Magma et Urban Sax, imprégnée par les Brésiliens Hermeto Pascoal et Raul de Souza, elle vient de rendre un très bel hommage au compositeur Cole Porter dans son dernier disque, « Tribute to Cole Porter » (Sergent Major/Nocturne). Magnifiquement accompagnée par un trio emmené par Alain Jean-Marie (piano) et avec plusieursinvités prestigieux – Rhoda Scott, Didier et Francis Lockwood, Stéphane Belmondo, Xavier Richardeau (saxe-baryton) ou encore Patrick Saussois (guitare) – elle revisite ces standards avec beaucoup d’élégance, de romantisme et de swing chaloupé.
Didier Pennequin
"Le Quotidien du Médecin" MARS 2009
 
Night and Day, I’ve got you under my skin, I get a kick out of you… De sa voix pleine de feeling, Manu Le Prince rend hommage au répertoire de l’immense Cole Porter. Ses interprétations présentent de discrètes couleurs brésiliennes, qui nous rappellent que cette chanteuse est une grande spécialiste de la bossa-nova. Tribute to Cole Porter (Sergent Major/Nocturne).
Michel Doussot "Paris Capitale" Mars 2009

TRIBUTE TO COLE AU SUNSET «Le romantisme, l'élégance sont étroitement liés à une oeuvre élevée et sensuelle, placée sous le signe de la vie et de la fête. Un hommage à ce maître du répertoire américain mérite donc un petit détour, surtout si l'interprète est une chanteuse passionnée comme la Brésilienne Manu Le Prince, qui orchestre depuis plusieurs années la rencontre du jazz et de la bossa. Ancienne collaboratrice de Christian Vander au sein de Magma. Ayant publié son premier disque en 1991 (Agora), Manu Le Prince était toute désignée pour faire entrer la comédie musicale dans les jazz clubs. Première belle nostalgie jazz de l'année 2008.» V.J. "A nous Paris" Janvier 2008

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MADRUGADA : Après avoir vécu quelques années à Londres, c’est en France que sa carrière débute réellement.. Avant de se lancer en solo, elle fera partie de formations diverses : Odeurs, Magma, Urban Sax, Brasil Stars, avec entre temps une série de concerts aux côtés de Bernard Lavilliers.
De retour d’un long séjour au Brésil, elle crée son propre style au travers de compositions originales et enregistre l'album Agora (1991). Des rencontres artistiques et amicales avec de grands noms comme Hermeto Pascoal, vont donner à sa musique une nouvelle dimension.
Son talent est vite reconnu et force le respect de ses pairs. Entre des tournées au Brésil et l’enregistrement d’un album live, Manu Le Prince se produit beaucoup sur scène, du duo au sextet, à travers la France et de nombreux pays : Brésil (Sao Paulo, Brasilia, Rio), Grèce, Turquie, Maroc, Suisse, Belgique, Italie, Slovénie, Emirats... Manu se produit régulièrement au Brésil, notamment au Vinicius à Rio et dans les SESCs (théâtres).
Son album Madrugada, enregistré en 2003 entre Paris et Rio, et entre jazz et musique brésilienne, mêle reprises et compositions originales. Auteur et compositeur, elle sait aussi, comme interprète, se réapproprier les standards et leur donner une dimension nouvelle. Manu imprègne sa musique de sa personnalité. Comme lorsqu’elle « brésilianise » des standards ou leur apporte sa touche de féminité, tout en conservant leur aspect originel.
Christian Boullangier "Jazz-Passion" Octobre 2007.

MADRUGADA : «Manu Le Prince n'est pas la plus connue des chanteuses de Latin Jazz, mais elle possède sans aucun doute l'une des plus belles voix dans ce domaine. Dans son dernier album Madrugada réédité chez Nocturne cette brésilienne de cœur mêle avec sensualité chaleur et élégance, le jazz et la bossa. Accompagnée par de flamboyants musiciens comme les pianistes Francis Lockwood et Hermeto Pascoal, Manu Le Prince interprète des standards, Ellington Jobim, Nougaro, et ses propres textes aux arrangements raffinés...»
Germain Treille
"France Info - Tendance Jazz"Avril 2006

« "Madrugada" rend compte des diverses passions de Manu Le Prince. Le jazz d'abord avec une reprise chaloupée de Caravan, et une émouvante interprétation de Nature Boy. Puis le Brésil : Fotografia de Tom Jobim et Casa Forte d'Edu Lobo sont revus sincèrement. Un hommage est également rendu à Nougaro (Le Cinéma,Manu Le Prince. Photo: Pierre Terrasson féminisé pour l'occasion). De sa complicité avec Hermeto Pascoal sont issus deux titres : Bébé et Coraçao, duo avec le maître au piano acoustique. La voix charnelle met en valeur une quinzaine de titres à l'orchestration élégante et aérée»
Philippe Deneuve "JAZZ Magazine" fév 2006

MADRUGADA : Un hommage aux musique brésiliennes qui résonnent splendidement dans les riffs de cette chanteuse de jazz qui, accompagnée par une élite du genre, nous enchante par ses bossas mélodieuses aux arrangements lumineux. "Lylo" fév 2006

MADRUGADA "La plus brésilienne des parisiennes revient de Rio avec un nouvel album entre jazz et bossa nova. Energie et rythme, mélodies subtiles et sophistiquées sont au rendez-vous. C'est une femme à fleur de peau, sensible et sensuelle et une grande voix que nous retrouvons dans cet album, entre compositions originales et reprises. Comme les très beaux Nature Boy et "Caravan ou encore un bel hommage à Claude Nougaro. Elle est entourée de ses complices de toujours, Francis Lockwood, Cacau de Queiroz et Raul de Souza, Stéphane Belmondo et Marc Berthoumieux, sur un disque qui fait du bien comme un doux lever de soleil."
Yaël "Latina'Mag" 2006

MADRUGADA : MANU LE PRINCE. La musique brésilienne convole avec le jazz depuis des lustres et des lampions. Les vocalistes du royaume de la bossa l'ont compris : la sensualité, ça se partage ! Rarement artiste aura aussi bien illustré ce mariage que Manu Le Prince. Elle chante depuis deux ans à l'Arbuci, à Saint-Germain-des-Prés. Le public et les musiciens ne veulent plus en bouger. Nous non plus.
Madrugada, Nocturne, déjà en rayon.
Bruno Pfeiffer "Virgin Hebdo" fév 2006

MANU LE PRINCE QUARTET Les 3,4 mars, à l'Arbuci, 25, rue de Buci, 6e. Pour les jazzeux, Manu Le Prince est depuis longtemps un secret bien gardé; pour ses fans, un trésor de la musique brésilienne conçue en France. Son dernier disque, "Madrugada", chez Nocturne, étonnera les uns et les autres : elle y chante mieux que jamais, avec en invité spécial Hermeto Pascoal.
Michel Contat "Télérama"  mars 2006

MADRUGADA : "Qui dit Brésil dit forcement personnalité, timbre chaud, voix par moments légèrement cassée, arrangements vocaux sûrs, pas de doute, Manu Le Prince en a."
T Marcuola "Jazz Hot"

MADRUGADA, festival "Jazz In Marciac" :
SAMBA PRINCIERE : Concerts de Marciac à Enghien. Dans son dernier CD MADRUGADA (Next Music), la chanteuse MANU LE PRINCE interprète "Le Cinéma". A Marciac et à Enghien elle dédiera sûrement la fameuse chanson à son auteur, Claude Nougaro. Dans son disque, au fil des reprises (Caravan, Fotografia) et de compositions d'elle, de Francis Lockwood, elle mêle pulsations latines, félinité de la bossa, vitalité du bop, parfum de flamenco. Le légendaire musicien brésilien Hermeto Pascoal, special guest de l'album, écrit dans le livret : "elle pense, elle ressent, elle chante merveilleusement bien". Colonne vertébrale du travail rythmique, Tatau Caetano, batteur et époux de la chanteuse est hélas décédé l'an dernier. Ce sera Stéphane Huchard qui complèteraManu Le Prince live au Sunside la section rythmique - avec Carlos Werneck (basse) et Francis Lockwood (piano) - du quintette (incluant le saxophoniste Cacau).
Rendez-vous pour ces fiançailles princières du jazz et de la samba. Manu Le Prince en tournée, notamment les 14 & 15 août à Jazz in Marciac, le 21 août à Enghien.
Fara Couderc "L'Humanite Hebdo"

MADRUGADA, ce n'est ni la nuit, ni le jour... ni l'aube. Madrugada c'est tout cela réuni. Entre ombre et lumière, Madrugrada, moment mélangé, moment tout en même temps, qui emplit les espaces de silence, comme affectionne le Brésil. Le Brésil qu'aime Manu Le Prince. Son Brésil : la braise d'un moment partagé, solidaire, solitaire ou peut-être encore salutaire. Tout est contenu, là,  au creux de sa musique. Morceaux triés avec amour, revisités avec respect ou compositions lumineuses, la voix de Manu est là, belle, sensuelle, enivrante, aimant jouer sur les inflexions et  atteindre la corde sensible sur la pointe de l'aurore. Là où se réveillent tous les désirs pourtant retenus avec pudeur. Ce disque, est la photographie, à un moment - encore! - d'une vie de rêve ou rêvée d'artiste, un disque où les aimés sont là. Sincérité absolue.
Vincent Oudot "L'Est Republicain"

MADRUGADA : "Ela pensa, ela sente...ela canta maravilhosamente bem", ce dithyrambique du génial poly-instrumentiste déjanté Hermeto Pascoal, invité de marque de cet album , donne instantanément envie d'écouter ce CD de Manu Le Prince, tout en subtilité et retenue ! L'alchimie des morceaux mêlant des standards de la bossa (A.C. Jobim / Fotografia, du jazz, avec le planétaire Caravan de Duke, et des originaux co-écrits avec Francis Lockwood et Hermeto Pascoal, sans oublier "l'écran noir de mes nuits blanches..." (Le cinéma, Legrand / Nougaro) donne envie d'écouter en boucle les titres qui s'enchaînent naturellement. De l'émotion aussi quand le voix d'un enfant reprend quelques mesures du Jardin d'hiver... "Elle pense, elle ressent...elle chante merveilleusement bien " ce n'est pas moi qui l'ai dit, alors vous pouvez le croire !" Jean My "Brazuca Mag"

MADRUGADA : « Madrugada, l'heure où l'on murmure et où l'on susurre, l'heure où la fumée des cigarettes et les vapeurs de la cachaça viennent recouvrir les couleurs de la fête d'un voile de volupté et de nostalgie, l'heure qui sied le mieux à Manu Le Prince pour nous envoûter de sa voix chaude et sensuelle avec ses compositions jazzy aux saveurs de Bossa Nova et ses reprises de Bossas aux saveurs jazzy.  Elégant mariage de rythmes et de cultures cet album incontournable, enregistré entre Paris et Rio,  écrit en partie par Manu Le Prince en partenariat avec Hermeto Pascoal   Francis Lockwood, Filo Machado ou Robertinho Silva, également tous invités sur le disque, mêle swing et émotion, enveloppés d'une belle voix voluptueuse.  L'originalité de cet album s'affirme dès la première plage avec l'étonnante relecture de « Caravan » de Duke Ellington, qui prend peu à peu des allures de Samba !. comme d'ailleurs , son étonnante version de « Nature Boy ».   C'est aussi un hommage à de grands noms de la Bossa Nova comme : Tom Jobim, Edu Lobo ou Rosinha de Valença , ou encore à Claude Nougaro avec son inoubliable reprise de « Le Cinéma ».  Cette magicienne à la voix de velours et à la plume trempée dans le swing sait bien s'entourer  : Francis Lockwood , Tatau Caetano et Carlos Werneck qui sont ses complices de toujours, et aussi ses amis  : Cacau de Queiroz,  Raul de Souza, Stéphane Belmondo, ou Marc Berthoumieux  .et nous entraîne de surprise en surprise . Elaboré avec amour ce dernier Cd, aux arrangements extrêmement raffinés prend toute sa force dans l'interprétation de cette amoureuse du Brésil , bercée par le jazz dès son enfance,  et nous transporte dans le monde sans frontière de la musique, celui de la complicité qui transcende les émotions »
Any Collin

MADRUGADA / DUC DES LOMBARDS  :
"Vendredi 5 & Samedi 6 mars au Duc des Lombards, Manu Le Prince Quintet "Brasil au Duc"
Malgré l'affluence au Sunside pour le trio de Brad Mehldau ce 6 mars, le Duc est complet pour les trois sets de Manu.
Manu Le Prince, belle et sensuelle, peau cuivrée, chevelure abondante et auburn qui lui tombe sur les épaules, une beauté du Brésil.
Manu Le Prince & Marc Berthoumieux - photo : Martial PeresElle présente et chante les titres de son nouveau CD, Madrugada. Hommage aux couleurs du Brésil à Duke Ellington, avec la reprise chaleureuse pleine de swing de Caravan. Ce thème n'a pas pris une ride, il s'accommode fort bien de toutes les interprétations. L'accordéon, sa sonorité convient bien au jazz, Marc Berthoumieux excellesur le piano à bretelles. Avec sensibilité et grâce, comme une caresse, Manu chante en anglais « Winter Song», composée par Francis Lockwood, pianiste qui place son talent au service du swing. Son style est très agréable. Stéphane Huchard, à l'aise dans toutes les formations et tous les styles, est efficace ou discret, selon les cas, sur le répertoire d'Antonio Carlos Jobim, repris par Manu. Carlos Werneck, un vrai carioca de Rio, épine dorsale de la section rythmique, apporte le juste son brésilien.
L'actualité du jour, c'est hélas la disparition de Claude Nougaro, le magicien des mots. Manu lui rend un vibrant hommage en chantant à deux reprises Le Cinéma, à la fin des 1er et 3e sets. Le Cinéma figure sur le CD Madrugada avec un accompagnement au bugle de Stéphane Belmondo. Pour cette reprise, Manu a reçu les compliments de Claude Nougaro qui lui a dit : « Tu as bien "féminisé "Le Cinéma, Manu Le Prince. » Voici l'avis de son parrain brésilien, Hermeto Pascoal : « Ela pensa, ela sente, ela canta maraviliosamente bem » : « Elle pense, elle sent, elle chante merveilleusement bien ». Et, de par sa générosité. Manu sait communiquer son enthousiasme à travers son chant et sa musique..."
Jean François Belalta "Lyon Jazz Notes" n°78 mai 2004

"LE SUNSIDE" La plus brésilienne de nos parisiennes n'a pas son pareil pour vous ensorceler..."
Jean Michel Proust "Nouvel Observateur" sept 2005

"FESTIVAL AMERICAIN DU SUNSIDE", le 1er juillet 2004 au Sunside. Ancienne chanteuse du groupe Magma, Manu Le Prince évolue désormais entre la France et le Brésil. Mariant avec bonheur jazz et samba, elle rend hommage aux grands compositeurs brésiliens et chante à ravir les compositions enchevêtrées du génial Hermeto Pascoal. Elle est accompagnée de Francis Lockwood (piano), Acelino de Paula (basse) et John Betsh (batterie)".   
Hugues Le Tanneur "Le Monde / Aden" juil 2004

L'ARBUCI & Le BILBOQUET : "La plus brésilienne de nos parisiennes. Rien que du bonheur !"  
Jean Michel Proust "Nouvel Observateur" sept 2005

LE ROSSO CAFFE  : "Le Brésil est à l'honneur avec les plus belles voix du latin jazz de l'hexagone,charmeuse et sensuelle à l'envi, la belle Manu Le Prince, princesse de la bossa nova et de la "Madrugada"du nom de son dernier album en référence à la musique traditionnelle brésilienne... 
Marie Emanuelle Galfre "Le Parisien" déc 2004

FESTIVAL - HAUT VAR  : "Les amateurs de jazz brésilien et de l'envoûtante féline domestiquée étaient nombreux. Il faudrait être de marbre pour résister à la séduction de Manu Le Prince. Elle n'a pas la sensualité provocante d'une Madonna mais plutôt celle d'une princesse Inca, souveraine aux yeux de feu. Manu, mi-argentine, mi-britannique a travaillé dans les groupes "Magma" et "Odeurs" avant de trouver son image de marque dans le jazz latin."
Mickey Papoz "Nice Matin"

NANCY  : "Un hommage de Titan à la Bossa-Nova Avec son grain de voix sensuel, Manu improvise avec une grande sensibilité..."
Vincent Oudot "L'Est Republicain"

SUNSET :  "Encadrée par un trio de qualité composé de Francis Lockwood, Carlos Werneck, Tatau Caetano, la voix puissante de et veloutée de Man, comme son dynamisme charmeur font merveille..."
Carolin Fabre "Boom Boom Mag"

NEW MORNING : "Quand Manu entre en scène, c'est tout le Brésil avec son cortège de paillettes de rythmes et d'exubérance qui l'accompagne. Sa voix magique nous ouvre les frontières d'ailleurs. Manu Le Prince, sensuelle, mouvante et émouvante, le regard pailleté nous a tous ensorcelés. Son spectacle est un passeport pour la béatitude où les tracas du quotidien s'effacent devant la musique et qui nous laisse claquant de doigts longtemps après..."
Patricia Scott Dunwoodie "Parole et Musique"

BRESIL SUR SCENE : Si le vrai talent est de reconnaître celui des autres, alors Manu Le Prince a tous les talents : faire aimer les artistes qu'elle aime et interpréter comme personne une vraie musique brésilienne. Manu a dû être touchée par la grâce des dieux de la Bossa et de la samba pour chanter avec tant de générosité et de feeling."
Gerard Naulet "Jazz Hot"

BESANCON : "Sa chouette plastique de gitane civilisée... Sa voix dangereuse qui entortille les nerfs autour de la colonne vertébrale..."
A. Schmidt "Est Eclair"

PETIT JOURNAL MONTPARNASSE : La voix capiteuse, caressante de Manu Le Prince, Brésilienne de Paris... D'excellents swingueurs accompagnent sa voix sensuelle...
E. Azoulay "Telerama"

AGORA 

"AGORA" C'est à une idylle que nous invite Manu : Les noces du Jazz et de la Samba. En elle-même déjà fusionnent des origines latines et anglo-saxonnes : quoi d'étonnant si elle allie la virtuosité de l'improvisation à la chaleur des rythmes latins ? Elle sait rendre hommage aux grands compositeurs brésiliens et américains, et nous étonner par des compositions originales, avec notamment Francis Lockwood, Daniel Goyone, Rosinha de Valença etc. Arabesques mélodiques sophistiquées, balades envoûtantes ou samba sauvage, et toujours beaucoup d'émotion."
Gustav Kundera "Jazz Newsletter"

"AGORA"  :   "Dès le début de l'album elle donne le ton du professionnalisme (On a pu l'apercevoir avec Bernard Lavilliers, Christian Vander, etc.) Douceur, chaleur, féminité et maîtrise vocale... ça tient debout, c'est fort, ça donne le Brésil à portée de la main et de pied... De la fête plein la tête..."
R. Baud "Jazz Hot"

"AGORA"  : "... on a pu entendre cette dame dans Odeurs, dans Magma et avec Bernard Lavilliers. Autant dire qu'elle a un sens certain de la musique... Aujourd'hui elle sort sous son propre nom un disque ambitieux marqué par le Brésil et le Jazz. Morceaux félins et énergiques qui évoquent plus le soleil que la nuit..."
Y. Plougastel "L'Evenement du Jeudi"

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